Justice electronique
Durant ces dernières 20 années, la pratique juridique de la finance a évolué vers des contrats électroniques et donc en une
justice électronique. La justice constitutionnelle, pénale et civile n'a pas suivit ce chemin et est reste dans le passe.
La raison est probablement que le coût et l'efficacité est le maître de la justice financière alors que la protection de privilèges
est celui du monde politique. Les politiciens ont réussi à s'en sortir en créant le mythe de la gratuite. La gratuite (de
quelque chose complètement inefficace donc très coûteux) signifie en faite que le temps de procédure est tellement long que
les participants payent, abandonnent ou meurent. Et, il n'y a une justice que pour ceux qui la payent très chère.
Une justice électronique suppose que la constitution devienne électronique et donc que le code civile et pénale devient
électronique. Le passage de la justice en livre à une justice électronique suppose la réécriture de toute la loi sous la forme "système
expert". Les fonctionnalités de base des systèmes experts rendent possible (et obligatoire) une vérification en
temps réel du système de lois. Il n'est donc plus possible de la corrompe
par l'usage de synonymes. Ainsi donc, l'arbitraire que les politiciens ont créé disparaîtra. Les politiciens
perdront la base de leur pouvoir face à la loi. Pouvoir acquis par l'arbitrage entre des lois incohérentes. Il est donc
logique que les politiciens bloquent l'avènement d'un système judiciaire efficace et donc dangereux pour eux.
La justice électronique suppose que tous les actes soient enregistrés de manière électronique. Par exemple, un couple
en union libre désirant avoir un enfant, peuvent s'enregistrer électroniquement par Internet avec éventuellement
une obligation légale du père potentiel de déposer son code génétique dans un laboratoire/notaire afin qu'un teste preuve
la paternité et valide les obligations légales. Son mode directe et quasi gratuit suppose un enregistrement des actes
électroniques des actes et témoignages.
Un second niveau de justice est la justice manuelle assistée par ordinateur. Dans cette formule, elle suppose l'arbitrage
par un "juge" du fait de la validation de document physique (audio, écrit, vidéo,...) afin de se prononcer sur des
cas automatiques dépendant de ce document. Le coût de cette justice n'a aucune raison de coûter plus qu'une consultation
médicale. Le délais d'attente avant le jugement doit aussi être
celui d'une consultation médicale et pas plus. Le niveau requis pour un juge travaillant a ce second niveau n'a pas de
raison de dépasser un DEUG en droit.
Le dernier niveau est accessible lors d'un recours par rapport aux niveaux précédents. Il est le niveau des magistrats
professionnelles actuelles et se concentra sur les cas complexes faisant jurisprudence.
Justice electronique ou justice a la barre
L'idee de "Justice electronique" induit un important changement dans le processus judiciaire.
L'action en justice se fait automatiquement ou avec la validation juridique d'un appel "electronique" de temoin ou d'un
document.
L'appel est effectue par la parti perdante sous l'argument juridique d'une mauvaise interpretation de la loi par le systeme
expert ou d'une inequation de la loi. Les magistrats deliberent contre le systeme expert et non sur le cas.
La deliberation debouche sur la correction du systeme expert dans le cas d'une erreure d'imterpretation. Dans le cas d'une
contestation de la loi, une initiative politique de changement de loi est amorce par les magistrats et vote par l'assemblee
specialise sur ce type de loi.
La cas juridiquement est ensuite rejuger electroniquement par la nouvelle version du systeme expert qui comprend la modification.
L'avantage est la disparation totale de l'arbitraire venant de l'erreure humaine et la garantie d'uniticite
des jugements.
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La loi est issue de la déclaration
des droits de l'homme de 1789 et non de l'état ou d'une tradition inventée par les media. La loi est un système de règles
non discriminatoires et ordonnées. Une nation qui corrompe sa loi par l'usage de synonymes, n'a plus de loi. Elle
est livrée à l'arbitraire de ceux qui pouvant choisir les lois, font la loi.
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