Pouvons nous faire de la redistribution sans voler ?
Redistribuer est presque un synonyme de "vol légalisé" et vol est un synonyme de "redistribution illégale".
Ainsi, l'utilisation de synonyme permet à ceux qui se nourrissent du travail de leur bouche de violer les lois en les dupliquant. Toutefois, la loi de Moise ou la déclaration des droits de l'homme ne dit pas que les parts de marché doivent être le monopole de quelques uns. Les
droits de travail pour tout travail disponible doivent donc
être distribué égalitairement puis il sera possible de vendre les
droits qui ne nous intéresse pas ou qui sont dans des professions où l'on a aucune chance d'avoir du travail. Le
profit de cette vente permettra aux personnes sans travail d'avoir un revenu non
vole par les caisses sociales. Le système sera complètement informatique et intègre a une plateforme de démocratie
directe afin de pas permettre à des créateurs d'impôts de s'enrichir sur le dos des travailleurs. Pour les emplois ou il y a pas assez de travailleurs, la valeur de ces droits tombera a zéro car il n'y aura pas de concurrence
pour les acheter.
Partager l'emploi public
Les emplois publiques sont comme leur nom l'indique: public.
La sélection par concours administratif représente un abus contraire aux articles 1,6 de la déclaration. Les français
sont l'unique autorité dans l'édification des règles d'attribution et de partage de l'emploi publique.
Seul des examens administratifs peuvent être fait pour obtenir une garantie de compétence. Par exemple, un emploi
de postier ne doit pas nécessiter un DEUG en philosophie. Seul la capacité à lire une adresse et de trouver son chemin est nécessaire a ce poste. La déclaration des droits
de l'homme et du citoyen suppose que l'ensemble des personnes désirant occupés le métier de postier puisse le partager
équitablement entre eux. S'il y a 4 fois trop de candidats, la fonction de postier peut être restreinte à 10 ans de travail
au lieu de 40 ans d’emploi à vie. Cette mesure peut être obtenue par voie légale sans action politique et sauver les exclues de la dépression et de la pauvreté.
La justice sociale n'est pas la dictature de la majorité mais la dictature de la loi. La loi est
loi qui si elle est ordonnée, sans contradiction, égale pour tous et en accord avec l'opinion de la majorité.
Plafond de consommation et d'investissement immobilier
Les articles 1, 14 et 15 interdisent la mise en place de mécanisme de redistribution de revenue mais heureusement, il n'interdise pas de fixer un plafond de consommation annuelle ainsi qu'un plafond d'acquisition dans
l'acquisition de certains biens immobiliers. Cette limitation touchera aussi bien les plus riches qui au lieu d'alimenter
la spéculation immobilière n'auront plus qu'a investir et créer
des emplois ou distribuer leurs excès de fortune.
Le revenu réel des salariées dépend en fait de trois paramètres: production économique réelle, imposition et
prix. Une action de justice sociale par la limitation dans l'acquisition de propriété, éviterait des prix de l'immobilier
3 a 4 fois trop élevés si ont les compare aux revenues du travail et être bien plus efficace que les soit disantes actions
de redistributions.
Et, si la loi devait être base sur la discrimination "positive" ?
Parler de discrimination positive, c'est déjà discriminer.
Les principes précédents supposent de reconnaître que le système de protection sociale s'est développe en complète
opposition avec la loi et sert d'arguments aux politiciens pour persuader l'électorat qu'ils aient nécessaire que la classe
politiques agissent au dessus des lois dont l'application entraîneraient l'accroissement de la pauvreté.
Une autre approche qui permettrait de distinguer le vol de la redistribution serait d'abandonner le principe d'égalité
par un principe de discrimination statique limitée par la loi.
Une discrimination statique suppose que ce principe soit inclue et totalement définie dans la déclaration des droits de l'homme. Les
discriminations dynamiques sont celles que hommes politiques adorent. Elle leur permette de profitant de l'inefficacité
du système judiciaire qu'ils ont cree eux meme.
Dans ce cas, il faudrait changer l'article premier de la déclaration par:
Article premier
Les hommes
naissent libres. Les discriminations juridiques ne peuvent pas être acquise par le fait même d'une initiative de l'individu.
La société ne peut protéger l'individu de ses erreurs car le principe même de la justice est de le protéger l'individus des erreurs d'autrui (1). Les distinctions sociales
ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
(1) En d'autre terme, si un individu fait une erreur en déménageant dans une ville ou il n'a pas d'attache et la possibilité
de trouver du travail, le reste de la société doit avoir un recours juridique pour se protéger contre cette décision. Du même
ordre si un individu choisit d'orienter sa formation personnelle par intérêt personnel et non par intérêt social, il
doit pour ne pas constituer une menace pour les autres, abandonner tous droits a toutes formes de protection sociale.
Une discrimination statique serait par exemple un droit acquis lors d'un accident réel ou génétique. L'idée de discrimination
statique a pour mérite de protéger la société contre la décadence culturelle et financière. En cas d'accident génétique (mutation
négative), elle suppose que la mutation soit clairement identifier et que les technologies médicales permettent
d'éviter de "passer la mutation" a la prochaine génération. Une mutation a 25 % de chance d'être passe à la
génération suivante, il est possible par une analyse de l'ADN d'empêcher son passage.